L’apprenti marcheur c’est le héros anonyme de ce récit, dont on suit l’errance au gré des rencontres de personnages et de lieux. Empruntant la forme du conte pour enfant, le roman explore l’absolue liberté de la narration, qui peut basculer dans une direction nouvelle à chaque articulation de la phrase. C’est aussi le portrait en creux d’un territoire rural imaginaire.
Le parti de l’illustration est celui d’annotations graphiques improvisées : les dessins, très simples, envahissent les marges ou bien recouvrent le texte.
Extrait :
(à venir…)